par Kate Chaillat
La rétrospective taïwanaise était l’occasion de voir de vieux films sortis des archives cinématographiques de Taïwan par l’œil aiguisé de Wafa Ghermani. Ces films, réalisés par des cinéastes nés en Chine continentale et émigrés à Taïwan dans la fin des années 1940, sont les témoins de diverses époques dans l’histoire du pays et d’un imaginaire propre à sa société.
lire plusConsultante pour le “Regard sur le cinéma taïwanais”
Doctorante sur le cinéma taïwanais à Paris 3 et Lyon 3.
Wafa Ghermani a découvert le festival international des cinémas d’Asie de Vesoul en 2001. Alors étudiante en licence, elle a choisi de traiter ce petit festival comme sujet d’un devoir de sociologie du cinéma. L’année suivante, elle commençait à travailler en tant que bénévole sur le festival. Au fil des années, Wafa a pu mettre à contribution son excellente maîtrise de la langue chinoise dans l’accueil des réalisateurs sinophones, l’interprétariat et la traduction.
lire plusUn film de de Satyajit Ray (Inde, 1970, noir et blanc, 115 mn)
par Chandrasekhar Chatterjee
Des jours et des nuits dans la forêt de Satyajit Ray, d’après le roman de Sunil Gangopadhyay (Sunil Ganguly) du même titre, a déjà été projeté de nombreuses fois en France. Il nous raconte l’histoire de quatre amis de Calcutta (Ashim, Shanjoy, Hari et Shekhar) qui partent en vacances à la campagne afin de s’évader du tumulte de la vie urbaine.
lire plusUn film de Ritwik Kumar Ghatak (Bangladesh, 1973, noir et blanc, 159 mn)
par Chandrasekhar Chatterjee
Mais comme raconte le poète Lalon,
Quand l’eau se convertira en air
Les poissons se dissoudront dans le vent.
(Extrait d’une chanson de Lalon Fakir Shah, poète mystique bengali du 19e siècle ; le film s’ouvre avec cette chanson folklorique.)